Vin bio
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Pourquoi choisir un vin bio ? Pour plein de raisons, mais surtout parce que vous êtes sincèrement convaincus de l’impact positif du vin bio. Cela fait quelques années que le vin bio fait beaucoup parler de lui. Et pour cause ! Plus respectueux de l’humain et de l’environnement : il a tout pour plaire.
Le Vin bio
Tout comprendre sans se faire des nœuds au cerveau
On a remarqué que cette notion de vin bio (ou vin issu de l’agriculture biologique pour les puristes) était loin d’être claire pour tout le monde. On s’est dit qu’un article sur le sujet pourrait vous intéresser. Tout comprendre du vin bio, sans se faire des nœuds au cerveau : c’est ici que ça se passe !
Qu’est-ce qu’un vin bio ?
Ce qu’il faut retenir
La dénomination vin biologique est reconnue depuis le 1er août 2012 par la réglementation européenne. Un vin biologique est un vin produit à partir de raisins certifiés en agriculture biologique et respectant un cahier des charges très strict. En bref, à la vigne comme au chai : tout doit être bio. Et concrètement ça veut dire quoi ? Cela signifie que les vins certifiés bio sont garantis sans produits chimiques de synthèse avant et après la récolte. Bye bye herbicides et pesticides. Pour faire du vin bio, on essaye de réduire au maximum les intrants (les engrais ou les produits phytosanitaires). On privilégie l’emploi de ressources naturelles et renouvelables en utilisant des engrais organiques par exemple. Il est élaboré selon des méthode de vinification proche des vins conventionnels mais avec une réduction de la teneur en soufre.
Comment reconnaître un vin bio ?
Tous les vins bio sont certifiés par un label. En France, il s’agit du label AB (Agriculture Biologique). Il est facilement reconnaissable sur les bouteilles de vin rouge, vin blanc et vin rosé. Il suffit d’examiner l’étiquette et de chercher une petite feuille verte et le label AB (Agriculture Biologique). Croyez-nous, impossible de les louper !
Comment fait-on du vin bio ?
Saviez-vous que lorsqu’un vigneron décide de produire des vins bio, il doit respecter un cahier des charges strict et suivre une période de conversion ? Eh oui. D’ailleurs, cette période de conversion dure 3 ans. Ce processus que l’on appelle “conversion” correspond à la période de transition entre un mode de production conventionnel et l’obtention de la certification biologique. Pour obtenir le label AB, il faut montrer patte blanche. Ainsi, dès le début de sa conversion en agriculture biologique, le vigneron est régulièrement contrôlé par un organisme certificateur. Le but ? S’assurer de la mise en conformité des pratiques suivant la réglementation bio. À partir de la deuxième année de conversion, le vigneron peut faire apparaître la mention “en conversion vers l’agriculture biologique” sur ses bouteilles, son site web ou ses réseaux sociaux. Tout ça pour vous dire que le vin bio, c’est du sérieux car très encadré !
À la vigne
Le mode de culture d’une vigne bio est différent d’une vigne en agriculture conventionnelle. Pourquoi ? Parce que les objectifs ne sont pas les mêmes. Le but de l’agriculture biologique est de favoriser l’activité du sol, limiter les risques d’érosion et minimiser le recours à des ressources non renouvelables. Ainsi, un vigneron qui travaille ses vignes de grenache et de syrah en agriculture biologique va mettre en place une série d’actions respectueuses de l’environnement et des humains. Il va regrouper ses interventions à la vigne, sauvegarder la biodiversité des sols, utiliser des engrais organiques, entretenir un couvert végétal entre les rangs de vignes pour lutter contre l’érosion des sols. Le mot d’ordre : sauvegarder l’expression du terroir.
Au chai
Mais cela ne s’arrête pas là. Car si la vigne doit être cultivée en agriculture biologique, les raisins eux, doivent être vinifiés selon les principes de l’agriculture biologique. Pour faire simple : les procédés et les produits chimiques utilisés dans la création d’un vin biologique sont soumis à des contraintes et des limites. Par exemple, l’ajout de sulfites est autorisé avec des valeurs maximales, 100 mg par litre pour le vin rouge (contre 150 mg par litre pour un vin traditionnel) et 150 mg par litre pour tous les vins blancs et rosés (contre 200 mg par litre pour un vin traditionnel). Pour rappel, les sulfites sont ajoutés au vin en qualité d’antioxydants et d’antiseptiques. En gros, ils permettent aux vins de vieillir dans de bonnes conditions, contrairement aux idées reçues le souffre ne donne pas mal à la tête c’est l’alcool qui a un effet déshydratant, buvez avec modération et hydratez-vous !
Vin traditionnel contre vin bio : que choisir ?
Tout est une question d’engagement. Chez Cordier, on n'a pas vraiment d’avis sur la question. Enfin si. Un peu quand même. Notre mission, c’est de vous proposer des vins innovants et respectueux de l’environnement. Pour être honnête avec vous, qu’il s’agisse d’un vin traditionnel ou d’un vin bio, notre combat est le même : vous proposez des bons vins sains qui régalent toute votre famille. Tout en pensant à la planète et à votre santé !
Eh oui, c’est une histoire de goûts et de couleurs. Et ça, chez Cordier, on l’a bien compris. C’est pour ça qu’on a tenu à enrichir notre gamme : vin rouge, vin rosé, vin blanc et vin effervescent. Du vin bio, on en a pour tout le monde. Pour Tatie Jeanine qui ne jure que sur le vin blanc bio du Languedoc, il y a notre Collection Terroir, pour Tonton Georges qui aime les rouges un peu gaillards de Bordeaux il y a notre Collection Privée et puis pour les curieux qui veulent découvrir les vins sympas de notre gamme Maris, c’est par ici.